L'Europe peut-elle agir seule ?
En 2008 L'Union Européenne a décidé de fixer ses engagement futur en emmision de gaz a effet de serre. Cet accord a donné lieu à de nombreux compromis critiqués par les associations écologistes. Mais le leadership assume par l'Europe en matière environnementl de ces dernière années peut ne plus etre dans les premiers en matière de conmpétitivite si elle doit rester plus longtemps dans un effort isolé dans le monde.
Le leadership environnemental
L'Europe a construit son identité politique internationale grâce à ses questions environnementale. L'Union n'est pas sur que ses effortq pour l'environnement seront suivit par les autres pays. Elle s'est fortement engagée dans le protocole de Kyoto pour reduire ses emissions de dioxyde de carbonne de 5,2 % d'ici 2012 par rapport aux emissione de 1990. Cette protection de l'environnement avait demaré il y a une dizaine d'annees plus tôt grâce à la pression des mouvements écologistes dans certains Etats membres notament au nord du continent. L'Unino s'est engagée au cours des annees 1990 aux normes environnemental les plus strictes au monde.
L'Europe avait donc soutenu les accords internationnaux incitant les autres pays à adopter des normes aussi strictes, dont aussi couteuses que les siennes pour son interêt économique. Elle est donc le moteur dans tout les grands traités internationnaux depuis la fin des années 1980 et a put se forger le leadership environnemental. En même temps les Etats-Unis ont essayés d'être les plus ambitieux dans ce domaine mais, cela avait des grandes contraintes eéonomique sur le pays et ont donc ratifié le protocole de Kyoto en 2000.
Une vertu payante
S'engager sur la protection de l'environnement peut être payante mais << s'engager dans cette voie, c'est créer une situation avantagueuse pour tous ou la croissance augmente, l'emploi progresse et l'environnement est mieux proteger>> affirmait Gunter Verheugen, commissaire europeen charge des entreprises et de la politiaue industrielle, en juillet 2008. En effet, les emplois verts offrent 3 millions d'emplois.Depuis 1980, la mondialisation croissante de l'économie a créé un nouveau moteur de competitivite qui est l'innovation. De plus les ressources naturelles s'épuisent de plus en plus, donc les innovations permettent d'avoir des éco-technologies qui diminurait l'impact environnemental causé par l'Homme.
Si ces innovations sont encouragés le plus tôt possible, elles permettront de donner de l'avance sur la concurrence internationnale. Par exemple en 1990, l'Allemagne avait l'obligation d'équiper tous ses véhicules neuf de pots catalytiques. Les constructeurs allemends avaient donc une avance technologique importante. La France avait importé les composants de fabrication des allemends pour cinq milliards de francs lors des passages aux nouvelles normes.
Les pays européens sont devenus les meilleurs dans l'énergie éolienne, le traitement des déchets et des eaux usées.
Un pari risqué
Le coût des normes vertes pour les entreprises européenne les plus polluantes avait jusqu'en 2008 un coût supportable d'après les études de la Comission européenne. Selon l'une d'entre elles, leur coût représenterait un peu moins de 2 % du chiffre d'affaire de l'industrie manufracturière européenne. Il es difficile d'avoir une idée des coûts dans certains secteurs industriel comme la sidérurgie. Mais certaines siderurgie font beaucoup d'effort. Les nouvelles normes européenne entrainent des délocalisation industrielle vers les rivages ou la reglementation est plus supportable. Ces normes ont eu certains avantages dans des cas précis. C'est le cas de l'industrie papétière européenne qui a diminué ses coûts en réduisant sa consammation d'eau a 50 % en quinze ans. L'Europe pari que ses normes environnementale exigeante se diffuseront et que le système ne connaîtra aucune << fuite >>. Ce pari permet avantagueux pour l'Union européenne. C'est le cas en particulier de Reach, la loi sur les substances chimiques adoptée en 2006 et le paquet énergie-climat.
Reach est un cadre reglementaire le rigoureux du monde. Les producteurs européen et les importateurs de produits chimique fabriqué en dehors de l'Union européenne doivent déclarer auprès d'une agence européenne de leur toxicité et de leur autorisation pour pouvoir les évaluer. Cela entrainerait la fin des productions et des utilisations de produits très toxique en Europe. Mais Reach peut aussi pénaliser les exportations de la chimie européenne sur les marchés moins réglementé que le sien. Mais L'Union européene va continuer sur cette voie et ses partenaires commerciaux finiront par adopter les même normes qu'elle.
De fait, la Chine qui est le quatrième producteur mondiale et qui a comme principale partenaire commercial l'Union européenne a été obligé d'appliquer Reach pour pouvoir continuer à avoir accès au marché européen. Mais il reste à savoir qu'elle rigueur sera excercée le contrôle sur les substance simportées. De plus la Chine pourrait continuer a créer des produits chimique interdit par Reach si elle les vends hors de l'Union européenne. La compétitivité de l'Europe devient donc difficile dans tous les secteurs et pas seulement la chimie.
L'Union européenne s'est engagée pour le paquet énergie-climat, en decembre 2008. Elle s'engage à respecter la loi 3 X 20 d'ici 2020. Cette loi oblige ceux aui s'y engage a reduire leur emissions de gaz a effet de serre de 20 % par rapport a leur niveau de 1990, d'augmenter a 20 % la part des énergies renouvelables dans sa consommation énergétique et d'améliorer son efficacité énergétique de 20 %. Les Européens ont voulu un engagement assez fort poue que les autre pays du monde les suivent à des concessions équivalentes lors de la conférence de Copenhague en décembre 2009 qui doit préparer l'après Kyoto.
Le pari pourrait être gagnant. La chine et Les Etats-Unis, les principaux pays pollueurs, retif à tout engagements pourraient changer d'attitude. Pékin subit beaucoup de problèmes environnementaux tandi qu'aux Etats-Unis, Barak Obama s'est engagé, pendant la campagne présidentielle, à réduire les emissions du pays de 80 % d'ici a 2050, soit 5 % de plus qu'en 1990. Mais L'Union européenne ne dispose d'aucune garantie que ses propres efforts seront suivit, jusqu'en 2009 renoncé à imposer ses normes environnementales a ses partenaires dans le cadre de ses accords commerciaux, par exemple en mettant une taxe carbonne a ses frontières. Pour respecter les engagement du protocole de Kyoto en matière d'émissions de gaz à effet de serre, l'Union européenne a mis en place en 2005 un marché d'échange des quotas de CO2 pour 11 400 de sites insdustriels. Avec le paquet energie-climat, les quotas seront progressivement vendu aux industriels à partir de 2013, et non plus loués directement. Mais par peur de pénaliser la compétitivité des industries comme la sidérurgie par rapport à ses concurents indiens, chinois ou amercains, l'accord exemtera du paiment des quotas de CO2 les secteurs les plus exposés à la concurence international. Pourtant une autre solution existait : un mécanisme de compensation carbonne aux frontières de l'Europe imposerait aux importateurs d'acheter des quotas à hauteur du contenu en carbonne de leur produits. Cette meusure avait la préférence de la France mais elle a été écarté par la commission européene et par les autres pays qui craignaient des represailles commerciales de la part des grands partenaires de l'Union. De plus la crise financiere pourrait mettre à l'ecart le rechauffement climatique au second plan des préocupations internationnales. L'Europe aurait alors de grosse difficulté dû aux engagements qui sont bien loin de suffir à eux seuls de changer la donne mondiale. Les pays doivent donc tous agir, ceux du Nord mais aussi ceux du Sud.
Source : Alternatives-Economiques